22 juillet 2006
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10:00
Elles m'ignorent.. tranquilles, distantes, apaisées. A la fureur urbaine elles ont préféré la verdeur campagnarde.
Lascives, elles se sont allongées... Peu leur chaut mon remue-ménage. Qu'ont elles à faire de mon remue-méninge ? Leurs ruminations valent bien les miennes. Leur verdeur de langue n'est pas en reste. Elles ont choisi la quiétude d'une sieste ombragée.
Elles m'offrent leur mamelle généreuse. Comme j'aimerais les prendre au creux de ma main...
Elles m'é..mmmeuuuuhvent..
Quelques unes ont bien voulu poser.
A bientôt..